Inspiré du célèbre roman autobiographique de Sylvia Plath, La cloche de verre retrace la chute dans le désespoir et la dépression d’une jeune fille brillante qui ne parvient pas à se conformer aux normes de son époque. Dans le paysage de l’Amérique puritaine de l’après-guerre, un touchant portrait de cette auteure américaine trop tôt disparue. Un spectacle où brille le talent exceptionnel de Céline Bonnier.
Janvier 2004 – Théâtre de Quat’Sous – Montréal (QC)
Décembre 2004 – CNA – Ottawa (ONT)
Mars 2005 – Théâtre de la Bordée – Québec (QC)
9-10-11 nov. 2005 – Théâtre de la Ville – Longueuil (QC)
16 novembre 2005 – Théâtre Outremont * – Montréal (QC)
19 novembre 2005 – Maison de la culture Frontenac * – Montréal (QC)
23 novembre 2005 – Maison de la culture Maisonneuve * – Montréal (QC)
15 février 2006 – Théâtre populaire d’Acadie – Caraquet (NB)
18-19 février 2006 – Théâtre l’Escaouette – Moncton (NB)
1er au 4 mars 2006 – Théâtre du Nouvel-Ontario – Sudbury (ONT)
22 au 24 mars 2006 – Théâtre d’Angoulême, scène nationale – Angoulême (France)
28-29 mars 2006 – Théâtre du Pays de Morlaix – Morlaix (France)
30-31 mars 2006 – Fanal, scène nationale – Saint-Nazaire (France)
5-6 avril 2006 – Festival Les Météores – Douia (France)
* Représentations données dans le cadre de l’opération : Le Conseil des arts de Montréal en tournée.
Gagnant de cinq Masques à la soirée des Masques en décembre 2005 : Production Montréal, Interprétation, Mise en scène, Costumes et Musique.
Finaliste pour le prix de la Meilleure production Montréal de l’Association québécoise des critiques de théâtre, saison 2003-2004.
Retenue dans les dix meilleures productions de la saison 2003-2004 pour le Prix de la critique saison 2003-2004 par les journaux La Presse, Le Devoir, Voir et Ici.
Gagnant du prix du Cercle des critiques de la capitale.
« 12ème soirée des Masques : La Cloche de Verre triomphe »
Alexandre Shields, Le Devoir
« Par un art qu’elle et Brigitte Haentjens ont fignolé avec une exactitude déconcertante, Céline Bonnier réussit sans changer de costume, sans rien changer à son maquillage, à nous présenter plusieurs femmes ou, si l’on préfère, les multiples facettes d’une femme à la personnalité éclatée. »
Philip Wickham, JEU