L'Éden cinéma

De Marguerite Duras

« Un jour elle m’a demandé de vendre le phonographe de Mr Jo. Je l’ai mis dans un sac, je l’ai donné au chauffeur du car de Kampot pour Agosti, un planteur de Réam. […] Comme ça, il n’y a plus rien eu à vendre. Je me souviens de ces jours-là, cette agonie. Longue. Ce soleil. Cette sécheresse, ça donnait la fièvre »

L’Éden cinéma, extrait

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