De Bernard-Marie Koltès Mise en scène de Brigitte Haentjens Avec : James Hyndman Scénographie : Brigitte Haentjens Costumes : Julie Charland Éclairages : Guy Simard Maquillages : Angelo Barsetti Dramaturgie : Stéphane Lépine Régie : Sonya Bélanger et Stéphan Pépin Direction de production : Éric Fauque et Stéphan Pépin
James Hyndman crache de façon hallucinante ce texte magnifique de Koltès dans un couloir d’une ancienne maison de chambres située au-dessus du Lion d’Or. Un voyage poétique chez l’étranger, le déclassé, le démuni.
Créé le 8 février 1999 dans un couloir au-dessus du Lion d’Or.
Présenté du 2 au 20 février 1999, puis en prolongation, et du 18 au 29 mai 1999.
Repris en 2000 et 2001 à Montréal, Ottawa, Sudbury et St-Nazaire.
Joué à guichets fermés plus de quatre-vingts fois à Montréal, Ottawa et Sudbury.
Finaliste pour le Prix de la meilleure production Montréal de l’Association des critiques de théâtre 98-99.
Retenu dans les dix meilleures productions de la saison 98-99 par les journaux Le Devoir, Voir et Ici.
« Beau travail »
Robert Lévesque, Ici, Montréal
« Sous le signe de l’urgence : La Nuit Juste avant les forêts »
Louise Vigeant, JEU, n° 91
« la metteure en scène a le tour des explorations qui brisent le ronron théâtral. »
Marie Labrecque, VOIR
« Tu tournais le coin de la rue lorsque je t’ai vu, il pleut, cela ne met pas à son avantage quand il pleut sur les cheveux et les fringues, mais quand même j’ai osé, et maintenant qu’on est là, que je ne veux pas me regarder, il faudrait que je me sèche, retourner là en bas me remettre en état […] »
La nuit juste avant les forêts, extrait
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