Conception et mise en scène de Brigitte Haentjens Avec : Anne-Marie Cadieux, Denis Gravereaux, Guy Trifiro, Gaétan Nadeau, Patrice Gagnon, Jean-Manuel Vital, Gilles Simard, Bernard Meney, Pierre Hupin et François Trudel Décors : Danièle Lévesque Costumes : Lyse Bédard Éclairages : Guy Simard Maquillages et coiffures : Angelo Barsetti Dramaturgie : Stéphane Lépine Musique originale : Robert Normandeau Assistance à la mise en scène : Julie Beauséjour Direction de production : Mathieu Gourd et Michel Granger Régie : Stéphan Pépin
Crédits Photos : Pierre Desjardins, Brigitte Haentjens et Lydia Pawelak
Un portrait poétique de l’auteure autrichienne Ingeborg Bachmann, hantée par l’histoire de son pays et son histoire personnelle. En compagnie d’un chœur masculin, Anne-Marie Cadieux se livre entièrement au destin écorché de Bachmann.
Une création de SIBYLLINES et du Festival de Théâtre des Amériques.
Présenté du 5 au 23 septembre 2000 à l’ESPACE GO
Présenté à guichets fermés à l’ESPACE GO.
Masque décerné à Robert Normandeau pour la musique originale.
Retenu dans les dix meilleures productions de la saison 2000-2001 par LeDevoir, Ici et Voir.
« Difficile de ne pas être happé par cet objet théâtral singulier, illuminé par une comédienne d’une singularité tout aussi évidente. Ce qu’il faut retenir, c’est que peu d’expériences théâtrales offrent une ampleur comparable, osent poser sur un mode poétique des questions de cette gravité avec une rigueur si absolue. »
Hervé Guay, La Presse
« On a assisté à une représentation déroutante et séduisante à la fois, autant sur le plan textuel que plastique, à la mesure de l’inspiratrice de cette création, ambiguë à souhait dans son œuvre et dans sa vie. »
Brigitte Purkhardt, JEU
« Cette femme, qui se consume en une lente agonie sous l’oeil froid d’un homme (Denis Gravereaux) qui la traite en enfant gâtée, bénéficie de tout le talent d’Anne-Marie Cadieux. Fragile et précise, retenue et engagée, avec ce ton inimitable qui la distingue. »
Marie Labrecque, VOIR
« Tu comprends, mes lettres enflammées, mes appels enflammés, tout le feu que j’ai mis sur le papier, avec ma main brûlée, j’ai peur que tout cela ne devienne un bout de papier carbonisé. »
Malina, extrait
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